Getyoo est une start-up financée par différents investisseurs privés et soutenue par la région de Bruxelles-Capitale. Elle a été fondée en avril 2009 par 2 jeunes entrepreneurs belges, Geoffroy Simon (26 ans) et Alexis Tinel (26 ans). L’entreprise combine la créativité, l’innovation et les avancées technologiques afin de fournir un service basé sur un produit. Getyoo se positionne comme un des pionniers dans le domaine de l’Internet des objets.
L'Internet des objets représente l'extension d'Internet à des choses et à des lieux dans le monde réel. Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, avec l’Internet des objets, c'est un nouveau monde qui s'offre à nous : tout objet est susceptible d'être « identifié » par des dispositifs mobiles sans fil. Produisant ainsi des environnements dans lesquels les objets seraient connectés et pourraient interagir entre eux ou avec l'homme.
Pour Getyoo, l’Internet est en passe de devenir pleinement omniprésent, interactif et intelligent. C’est pourquoi, cette start-up a développé son propre outil mobile sans fil appelé le Clickey. Le Clickey est aujourd’hui le plus petit lecteur NFC (Near Field Communication) connu sur le marché. Il permet de récupérer des informations dans le monde réel en lisant des tags. Un tag est une étiquette intelligente qui contient de l’information, elle peut-être collée sur n’importe quel objet et fournir une information à propos de celui-ci. En pressant le bouton du Clickey, ces informations peuvent être récupérées pour être ensuite utilisées et partagées sur la plateforme online http://getyoo.com
Sorte fourre-tout digital, le Clickey a aussi une fonction de carte de visite car il permet à un utilisateur de partager son profil online dans le monde réel. L’objectif de Getyoo est donc de combler le vide qui existe entre le monde de l’Internet avec ses réseaux sociaux et le monde réel.
ALEXIS TINEL – CEO. Suite à son diplôme postuniversitaire en Gestion et Administration, Alexis s’est construit au sein de différentes structures multinationales. Dernièrement, il s’est expatrié à Londres où il a connu une expérience importante dans le lancement international d’une filiale commerciale. Alexis dispose d’un sens développé des affaires, c’est un excellent négociateur. Il est en charge du développement commercial de Getyoo et de la gestion administrative de l’entreprise.
GEOFFROY SIMON – COO. Gradué en Sciences Politiques, Geoffroy a présenté le projet en 2006 à la Start Academy. Suite à cela, il a suivi une année de formation à la Solvay Business School en création et croissance d’entreprise et en est déjà à sa deuxième création d’entreprise. Geoffroy dispose d’une excellente faculté de communication. Il s’occupe de la communication externe et travaille avec les équipes techniques pour s’assurer que le développement du produit corresponde aux attentes des consommateurs et du marché.
L’informatique dans un département « Finance » est surtout présente dans l’élaboration et la présentation des chiffres financiers. Lors de cette session, une introduction sera donnée à propos des systèmes ERP et de comptabilité, et du « financial datawarehouse » qui en découle. On parlera ici aussi des outils BI (Business Intelligence), modèles classique et associatif (Qlikview).
Dans un même contexte, l’informatique pour la consolidation financière sera abordée, avec ses charactéristiques IT et le dévelopment conjoint du logiciel Consolite par ARSIMA Projects et PeopleWare NV.
Le projet PEPITo-Finance, ensemble avec PEPITe software SA, avec comme but la modélisation des données comptables pour une prédiction financière, sera brièvement présenté.
La session sera cloturé avec les opportunités et débouchés pour des informaticiens et informaticiennes dans un déparement « Finance ».
Après 15 ans d'expérience dans différentes fonctions de Finance/IT dans des sociétés multi-nationales, Martin van Wunnik a crée le 8 Aout 2008 (8/8/8) sa propre société ARSIMA Projects sprl. Le but d’ARSIMA Projects est d’aider les sociétés et organisations à réaliser leurs projets financiers avec une grande composante informatique.
ARSIMA Projects se focalise sur les projets d’ordre de CONSOLIDATION FINANCIERE et RAPPORTS FINANCIERS, où parametrage et implementation sont requis. La société présente en outre des capacités dans des projets de Qlikview et Business Intelligence (BI), tableaux des flux de trésorerie et KPI, conseil comptable analytique, séminaires et training sur la consolidation financière.
Avec son service “ad hoc CFO”, ARSIMA Projects offre aussi une assistance financière à la demande pour les sociétés start-up en phase de (pre) seed-capital.
Wazaabi est une initiative « Declarative UI », c'est-à-dire, visant à concevoir l'interface graphique d'une application par l'utilisation partielle ou totale de modèles plutôt que par la programmation. Cette technique, dont HTML et le web furent parmi les précurseurs, permet avant tout aux concepteurs de mieux répartir leurs efforts sur les composantes métiers d'une application informatique.
Initié en 2003 et publié en version 1.0 fin 2006, le framework Wazaabi, permettait de décrire des interfaces graphiques (UI) aussi riches que possibles dans des fichiers XML au format XUL en minimisant les échanges client-serveur. Aujourd'hui, la version 2.0 est une complète refonte et s'appuie sur les dernières technologies de modélisation (Eclipse Modelling Langage). Wazaabi est sponsorisée par la société belge Euranova.
Il s'agit de la première initiative basée sur un modèle « live » (toute action de l'utilisateur sur l'UI est directement répercutée sur le modèle et, inversement, tout changement du modèle est reflété dans l'UI).
Tout en respectant l'esprit de Wazaabi 1.0, Wazaabi 2.0 capitalise sur les leçons tirées de la première version : la nécessité d'un éditeur/modeleur graphique et le besoin d'outils déclaratifs de databinding (i.e. modélisation des connexions entre les objets métiers et les composants d'interface graphique) tout en tenant compte de l'aspect sécuritaire basé sur JAAS.
La conférence aura pour plan prévisionnel:
Passionné par la modélisation et l'ergonomie des interfaces utilisateurs, Olivier Moïses travaille comme consultant en génie logiciel depuis 1993 et débuta avec Eclipse il y a 6 ans.
Depuis, il a développé un grand nombre d'applications (standalone, RCP ou plugins d'IDE) utilisant Eclipse et organisé des formations Rich Client Platform (RCP). Olivier est spécialisé GEF, EMF, WTP et GMF. Il est également membre du OSGI™ Users Group France.
Outre sa contribution essentielle à Wazaabi, Olivier est aujourd'hui committer E4 (future version d'Eclipse) et PMF (Presentation Modeling Framework). Il travaille également avec la société Euranova à l'implémentation et au design de Wazaabi par la rencontre de problématiques client.
Depuis le temps du mainframe omniprésent, une évolution importante a eu lieu au niveau des architectures software. On est passé du client-serveur aux architectures multi-couches et orientées composants. SOA est la dernière évolution de celles-ci, basée sur une maturité importante, tenant compte des derniers standards et des problèmes du passé. L’approche est simple, évolutive plus que révolutionnaire, souple et entièrement adaptée aux besoins actuels des entreprises et du business en général.
Frédéric Vermaut (né en 1968) a été promu ingénieur civil en 1991, puis a fait un diplome complémentaire en gestion et administration des entreprises. Après avoir travaillé 4 ans comme analyste-chef de projet sur un gros projet de renouvellement de l'informatique “emploi” au FOREM (downsizing mainframe → environnement client-server avec bases de données distribuées), il se dirige vers la consultance chez Hermès Engineering (1997). En 1999, il devient directeur technique, poste qui évoluera vers l'architecture logicielle et la stratégie technique. Depuis 13 ans, les missions de consultance se succèdent, tout d'abord en tant que méthodologue (UML, RUP…), puis comme architecte (architecture logicielle surtout, OO, urbanisation, SOA…) et comme analyste senior ; enfin depuis quelques années comme chef de projet (autant dans les développements opérationnels que dans la business intelligence). Des missions combinées d'architecture générale et de maîtrise de projets lui sont très souvent confiées. Il a une expérience fonctionnelle principalement dans le monde bancaire et les assurances (life et non life). ll combine les missions de consultance avec ses responsabilités en interne, étant notamment en charge du recrutement des collaborateurs Hermès, de leur formation initiale ou continue ainsi que de l'infrastructure informatique.
Au cours des vingt dernières années, le recours au calcul intensif - ou High Performance Computing (HPC) - a connu un intérêt grandissant et a été utilisé pour aborder des questions scientifiques majeures grâce à la résolution numérique de problèmes complexes. Le développement de technologies et la mise à disposition de moyens de calcul intensifs sont considérés mondialement comme stratégiques pour le maintien et le développement de la compétitivité de la recherche et, au-delà, des activités industrielles. Parmi les challenges rencontrés en ingénierie, on trouve l'objectif ACARE fixé par la Commission Européenne pour la réduction de l'emprunte écologique des activités du secteur aéronautique. Cet objectif implique, entre autres, des réductions considérables en consommation de combustible fossile ou en émission de bruit des appareils. Le secteur, déjà traditionnellement utilisateur important du calcul intensif, est dès lors encore amené à développer ces capacités de manière à pouvoir étudier les problèmes correspondants avec plus de fidélité: soit par l'analyse de modèles plus fins et à physiques multiples, soit par l'analyse de configurations plus réalistes et donc plus importantes. Cet exposé donnera quelques exemples de problèmes de cette nature et montrera comment la simulation numérique constitue un support de la conception industrielle dans le secteur de l'aéronautique lui permettant de mettre plus rapidementces produits plus performants sur le marché.
Serge Bogaerts est ingénieur civil (Électromécanique), diplomé de l'ULB en 1992. Chercheur à l'Institut von Karman de Dynamique des Fluides, puis ingénieur d'études au département nucléaire de Tractebel Engineering, il est actuellement responsable des infrastructures et moyens informatiques du centre de recherche en aéronautique agréé de la Région Wallonne, Cenaero.
Collibra was founded mid 2008 as a spin-off from the Vrije Universiteit Brussel based on over 100 person years of semantic technology research.
Large organizations look at Collibra to help them define and govern the meaning of their key business concepts. For example, what does the term subscription mean to different business units at a telecom company. The lack of definitions lead to mis-communication, mis-understanding risks, lack of trust and integration complexity.
Collibra solves this problem by bringing together social software and semantic technology. Business and technical stakeholders can collaboratively capture and govern business definitions, facts and rules using OMG's SBVR (Semantics for Business Vocabulary and Rules) standard. Collibra's patent-pending semantic technology allows us to automatically generate technical data models and real-time data services. This in effect provides a closed loop governance and transparency between the business and the operational level, which makes us unique in the market. Data governance will become a multi-billion $ IT category in which Collibra is well-positioned to play a leading role.
Collibra raised a € 850.000 seed round. We used the money to build, and sell version 1 of our products at live customers. We also signed partnerships with for example Oracle, IBM, Deloitte, and others.
Felix Van de Maele is co-founder and CEO of Collibra. He holds a master in applied computer science from the Vrije Universiteit Brussel, a master of science in software engineering from the Vrije Universiteit Brussel, Ecole des Mines de Nantes (France) and Universidad Nacional de La Plata (Argentina) and further received a master in general management from the Vlerick Leuven Gent Management School.
Felix was part-time researcher at the Semantics Technology and Applications Research Laboratory (STARLab) at the Vrije Universiteit Brussel where he focussed on ontology-focused crawlers for the semantic web and semantic data integration.
Companies struggle to become more agile by implementing information systems that support and facilitate changing business requirements. The management of core information, such as information about customers or products, becomes increasingly important. This information is called Master Data. In many organizations, this master data is kept in many overlapping systems and is often of unknown quality. Haven't IT professionals been trying for years to provide consistent, comprehensive, easily accessible core information across the enterprise? Yes, they have and a lot of progress has been made - think about the evolution of data warehousing and business intelligence systems over the past ten years. But the problem still exists. Very few organizations have successfully implemented a single system of records that spans the entire enterprise. So MDM: myth or reality? Is there any “MDM technology” ready to help organizations to establish and leverage trusted information to optimize business information?
This seminar was firstly presented at CSC Belux “Knowledge Sharing Sessions” on April 21st 2009 in collaboration with IBM Information on Demand services.
Patrice Latinne is senior consultant at CSC Computer Sciences with a role of project manager and decisional solution architect in Information Management services. Patrice has over 10-year experience in the field of data warehousing, enterprise performance management and advanced analytics in many financial, public, manufacturing and services industries. Patrice holds a MSc degree in engineering and a PhD degree in Applied Sciences / Machine Learning from the Université Libre de Bruxelles.
Les technologies vocales (synthèse et reconnaissance vocale) ont fortement évolué et se sont généralisées ces dernières années. Les applications grand public sont de plus en plus nombreuses : systèmes téléphoniques automatisés, dictée vocale professionnelle ou grand public, et depuis peu applications vocales de plus en plus pointues sur des plateformes embarquées tels que des téléphones ou des PDAs. Le marché automobile est à ce niveau en plein développement : de par le besoin de limiter la distraction du conducteur, les technologies vocales apportent une aide réelle par rapport aux systèmes d’écran tactile. Outre un rapide aperçu des principes des technologies vocales, les limitations des plateformes embarquées (au niveau puissance de calcul et de mémoire) et les caractéristiques spécifiques de l’utilisation en voiture (niveau de bruit ambiant dans une véhicule roulant) sont des challenges qui seront abordés. Nous verrons aussi comment les évolutions récentes de connectivité ouvrent de nouvelles possibilités d’utilisation partagée entre la plateforme embarquée et l’utilisation de serveurs distants plus puissants
Alfred Wiesen est ingénieur civil diplômé de l’ULB en 1993. Ayant réalisé un mémoire de fin d’étude dans le domaine de la synthèse vocale, il travaille successivement chez Lernout & Hauspie, Ubicall et actuellement Nuance, dans divers aspects des technologies et applications vocales (codage et compression de la parole, systèmes de développement en reconnaissance et synthèse vocale, applications téléphoniques pour les hôpitaux, …) Il s’est dernièrement spécialisé dans le domaine de la gestion des données de navigation et leur utilisation en reconnaissance de la parole.
Les brevets occupent une place fondamentale dans l’économie de la connaissance et constituent une source essentielle d’avantage concurrentiel. Les brevets peuvent toutefois jouer un double rôle : celui de protéger la connaissance créée par l’entreprise en lui conférant un droit exclusif, mais aussi celui de renseigner l’entreprise sur les technologies développées et protégées par leurs concurrents. Bien utilisées, les banques de données de brevets peuvent donc constituer une mine d’information cruciale. Mais les dépôts de brevets sont en constante explosion et en extraire l’information utile ne peut plus se faire désormais qu’au moyen de techniques de data mining adaptées. Celles-ci relèvent du text mining et de l’analyse de graphe essentiellement, et sont parfois regroupées sous le vocable de « patent mining ». Cette session fournira un aperçu des différents rôles des brevets dans l’entreprise, des bases de données disponibles, et des principaux outils et techniques pour les exploiter.
Nicolas van Zeebroeck: Ingénieur de gestion et Docteur en Economie et Gestion, Nicolas van Zeebroeck est actuellement chargé de recherche FNRS et chargé de cours à l’ULB (Solvay), après avoir débuté sa carrière comme consultant chez Capgemini. Ses enseignements et recherches se concentrent aujourd’hui sur l’innovation technologique et la gestion de la connaissance. Il étudie en particulier les stratégies de gestion de la connaissance et leur impact sur la performance des entreprises.
Software developers increasingly need to take advantage of heterogeneous processors, like graphical processing units (GPUs) and digital signal processors (DSPs), to achieve required performance with a reasonable development cost. Conventional solutions rely on design-time profiling and exploration to determine the assignment of software tasks on processing elements. However, runtime dynamism encountered in practice can breach the design-time assumptions and hence result in suboptimal usage of the hardware resources. Moreover, when commodity processors are added into the underlying hardware platform, it is difficult to determine a cost-effective mapping of software tasks on multiple heterogeneous processors.
To tackle the challenge of fast and cost-effective task mapping on a heterogeneous platform, IMEC has developed an intelligent resource management layer between the software applications and the hardware platforms. This resource manager automatically assigns software tasks to heterogeneous processors in order to maximize the overall performance at runtime.
This talk will show the solution that was developed at IMEC and discuss possible extensions. Throughout the talk the roles and opportunities for software engineers (from the exact as well as the applied sciences) will be highlighted.
Roel Wuyts is principal scientist at IMEC, working on adaptive runtime resource management and toolchains for embedded devices. He is also part-time professor in the Distrinet group at the KULeuven. He is active in the embedded software engineering area (resulting in papers in IEEE Software or the Journal of Systems and Software) as well as in the in the Object-Oriented and programming language communities (resulting in papers in TOPLAS, ECOOP, OOPSLA and AOSD).
Toutes les transactions présentes dans les échanges bancaires et financiers ne sont pas nécessairement complètement “informatisées”/“codées”. C'est pourquoi il y a un besoin de traiter du langage naturel afin de rendre ces transactions assimilables de bout en bout par les systèmes d'information. L'exposé consiste à comprendre comment ceci se met en oeuvre avec les technologies d'intelligence artificielle et de traitement du langage naturel.
Maurice Kern est titulaire d'un Doctorat de troisième cycle en Mathématiques de l'université de Paris. Il a mené toute sa carrière dans le monde informatique et en particulier dans les “Financial Services”. Successivement chez Dassault Aviation, Matra, FileNet et Siebel Systems, Maurice Kern dirige Viveo Belgium, le leader mondial du STP et de l'AML.
Jean-Marc Noury est ingénieur informaticien. Il a collaboré pendant 6 ans avec Dassault et GTM à la réalisation d'applications informatiques pour les métiers des travaux publics : modélisation numérique de terrain, guidage d’engins de terrassement par GPS. Depuis 2002, il exerce chez Viveo Belgium en tant qu'architecte logiciel et Technical Project Manager. Ces dernières années, il concentre son expertise à la réalisation de solutions logicielles destinées à la lutte anti-terrorisme et anti-blanchiment d’argent dans le secteur bancaire.